Des inflammations de bas grade, parfois localisées dans la sphère pelvienne, peuvent perturber l’environnement utérin et nuire à la qualité de l’ovulation ou à la circulation sanguine.

Même sans être visibles sur un bilan classique, un léger manque de progestérone ou une ovulation de mauvaise qualité peuvent suffire à entraver la conception.

Un excès relatif d’œstrogènes (hyperœstrogénie) par rapport à la progestérone peut favoriser un terrain inflammatoire et déséquilibrer le cycle, rendant la nidation plus difficile.

Des cycles instables ou des symptômes prémenstruels très marqués peuvent refléter un déséquilibre hormonal sous-jacent, souvent ignoré mais impactant la fertilité.

Cette pathologie fréquente, souvent silencieuse, peut provoquer des adhérences ou des inflammations chroniques autour des trompes et des ovaires, sans toujours être visible à l’échographie.

Un stress prolongé épuise les glandes surrénales, perturbe la production des hormones sexuelles et peut allonger ou bloquer les cycles.

Un excès de certaines réactions immunitaires (auto-immunité ou inflammation silencieuse) peut empêcher la fécondation ou l’implantation, sans symptôme apparent.