Comprendre les Fibromes / Myomes / Adénomyose

Vous ressentez des douleurs pelviennes, des règles très abondantes, ou un ventre gonflé sans raison claire ?

Ces symptômes peuvent être liés à la présence de fibromes, de myomes ou à une adénomyose.

Ces troubles gynécologiques sont fréquents, et souvent silencieux, mais il existe des solutions naturelles et efficaces pour mieux les comprendre et les soulager.

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Les fibromes et myomes, c’est pareil ?

Oui. Les fibromes (ou myomes) sont des tumeurs bénignes (non cancéreuses) qui se développent dans ou autour de l’utérus. Leur taille et leur nombre peuvent varier d’une femme à l’autre

L’adénomyose, c’est quoi ?

C’est une pathologie différente, mais souvent associée. L’adénomyose survient lorsque le tissu de l’endomètre (la muqueuse de l’utérus) s’infiltre dans le muscle utérin, provoquant des douleurs, des règles très abondantes et une sensation de lourdeur.

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Symptômes fréquents

Bon à savoir : certaines femmes n’ont aucun symptôme pendant des années.

Douleurs pelviennes 

Persistantes ou pendant les règles.

Règles très abondantes

Parfois avec caillots.

Ballonnements / ventre gonflé 

En dehors des repas.

Fatigue chronique

Anémie liée aux pertes.

Douleurs pendant les rapports

Surtout avec l’adénomyose.

Difficultés à concevoir

Parfois liées à la localisation des fibromes.

Quelles sont les causes potentielles ?

Les causes exactes restent floues, mais plusieurs facteurs sont étudiés :

Excès d’œstrogènes 

Déséquilibre hormonal courant, les œstrogènes en excès, non compensés par la progestérone, peuvent stimuler la croissance des tissus utérins, favorisant l’apparition de fibromes ou d’adénomyose.

Prédisposition génétique

Les femmes ayant des antécédents familiaux de fibromes sont plus susceptibles d’en développer, ce qui suggère un terrain héréditaire.

Inflammation chronique

Un état inflammatoire de bas grade, souvent silencieux, peut déséquilibrer le fonctionnement cellulaire et hormonal, et contribuer au développement de ces pathologies.

Exposition à certains perturbateurs endocriniens

Ces substances chimiques (plastiques, cosmétiques, pesticides...) peuvent imiter les hormones naturelles et perturber l’équilibre œstrogénique de l’organisme.

Alimentation pro-inflammatoire

Une alimentation riche en sucres, graisses saturées, produits ultra-transformés peut favoriser l’inflammation et nuire à l’équilibre hormonal.

Stress chronique non régulé

Un stress intense ou prolongé peut déséquilibrer l’axe hormonal hypothalamo-hypophyso-ovarien, ce qui peut aggraver les troubles gynécologiques.

Soulager naturellement (en complément du suivi médical)

🚨Ces pathologies nécessitent un diagnostic médical précis. Les conseils naturels peuvent soulager, mais ne remplacent jamais un suivi gynécologique adapté.

Hygiène de vie

  • Activité physique douce et régulière
  • Gestion du stress (yoga, respiration, adaptogènes)
  • Alimentation anti-inflammatoire et pauvre en xénoestrogènes

Réduire l’inflammation et soutenir le foie

  • Curcuma, gingembre, romarin (infusions ou compléments)
  • Omega-3 (graines de lin, poissons gras)
  • Vitamine D et magnésium

Soutenir l’équilibre hormonal 

  • Gattilier (en cas de troubles du cycle ou d’hyperœstrogénie)
  • DIM (extrait de brocoli – soutient la détox des œstrogènes)
  • Tisanes ciblées pour le stress

Accompagnement personnalisé

Noté 5 étoiles

+ 3000 femmes accompagnées

Quand consulter un médecin ?

Si vous présentez des douleurs inhabituelles, des règles très abondantes ou des difficultés à concevoir, consultez rapidement un professionnel. Une échographie pelvienne est souvent le premier examen pour confirmer le diagnostic.

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